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Déchets alimentaires : qui gaspille le plus ?
Un podcast pour comprendre ce que représentent les déchets alimentaires et identifier parmi eux le gaspillage de nourriture. Que gaspillons-nous ? Qui gaspille le plus ? Comment réduire le gaspillage ?
Déchets radioactifs : quel héritage pour nos descendants ?
La France a décidé de gérer et de stocker ses déchets radioactifs de manière raisonnée en adoptant un double principe de précaution et de réversibilité. Explications.
Un cadre réglementaire pour l’agrivoltaïsme
Un nouveau décret vient encadrer la pratique de l’agrivoltaïsme pour permettre de concilier production agricole et production d’énergie solaire.
Quand les déchets électroniques atteignent des records
La quantité de « e-déchets » a atteint un nouveau record. Moins du quart des 62 millions de tonnes de déchets d’équipements électriques et électroniques produites dans le monde en 2022 ont été recyclés.
Comment a évolué la précarité énergétique en 2022 ?
En 2022, 10,8 % des ménages étaient en situation de précarité énergétique (3,2 millions au total), soit une baisse de 0,9 point par rapport à 2021.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/3b/5b6424e6c5f105c6babd2317113d94.png?1763044389)
Énergie : bilan 2022 et tendances en 2023
Retrouvez l’essentiel du bilan définitif de l’énergie pour l’année 2022 en infographie et une synthèse avec les données provisoires pour 2023.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/0c/df4ff33d3c926eabc3609c17eb5e3d.png?1763044389)
25e édition du Printemps BIO : découvrez le savoir-faire des agriculteurs près de chez vous
Partez à la découverte de l’agriculture biologique dans le cadre du Printemps BIO 2024 organisé du 22 mai au 21 juin partout en France.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/b0/607b7b3fd6bc5cbd6878905cdaff46.png?1763045913)
Où en est la France par rapport à ses objectifs en matière d’énergies renouvelables ?
La France est-elle sur la bonne trajectoire en matière d’énergies renouvelables ? Elle doit atteindre l’objectif de 33 % d’énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie en 2030. En 2023, cette part est à 22,2 %.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/81/a26c0153dbf2faa5ccec9141113ce2.png?1763045913)
L’Europe progresse-t-elle en matière d’économie circulaire ?
Selon l’Agence européenne pour l’environnement (AEE), il est important d’accélérer la transition de l’Europe vers une économie plus circulaire.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/4c/291cd9dc93b09506189a4ea02b993a.png?1763045447)
Parmi les déchets alimentaires, que gaspille-t-on vraiment ?
En 2021, La France a produit 8,8 millions de tonnes de déchets alimentaires. Parmi ceux-ci la moitié était encore comestible, ce qui représente un gaspillage alimentaire de 4,3 millions de tonnes.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/17/fd8d78b0480a03e68eae98527aa36e.png?1763045447)