Évaluation du taux d’artificialisation en France : comparaison des sources Teruti-Lucas et fichiers fonciers
Mis à jour le | Commissariat général au développement durable
Partager la page
L’artificialisation, conséquence notamment de l’étalement urbain, contribue en grande partie à la dégradation de la qualité des sols en France. Son suivi, renforcé par le plan biodiversité, constitue ainsi un enjeu majeur pour l’accompagnement des politiques publiques. Actuellement, le suivi statistique de l’artificialisation des sols et la géolocalisation de son évolution reposent sur une diversité de méthodes et de sources (satellitaires, administratives et observations de terrain). Afin d’interpréter leurs résultats et d’expliquer leurs éventuelles différences, il est donc important d’analyser et de comparer leur méthodologie. Cette étude compare deux dispositifs particuliers de mesure de l’occupation des sols : l’enquête Teruti-Lucas et les fichiers fonciers. Si ces deux dispositifs estiment un taux d’artificialisation proche au niveau national, des différences apparaissent à des niveaux plus fins.
/BOUCLE_condition_pdf>
Ouvrir l'horizon
- Limites planétaires
- Cartes IGN : l’application pour découvrir la France autrement
- Le castor : une espèce protégée utile à l’écosystème
- La France en bonne voie d’atteindre ses objectifs climatiques d’ici 2030
- Laisser la nature s’exprimer, une approche bénéfique pour les villes et les citadins
- Télétravail : combien de tonnes de CO2 évitées ?
- Chiffres clés du climat - France, Europe et Monde
- Comment composter facilement chez soi ?
- Qui sont les Français qui optent pour une voiture électrique ?
- État de l’environnement en France
- 3 minutes pour comprendre les risques naturels auxquels nous sommes exposés
- 5 conseils pour une pratique sportive respectueuse de l’environnement