Évaluation du taux d’artificialisation en France : comparaison des sources Teruti-Lucas et fichiers fonciers
Mis à jour le | Commissariat général au développement durable
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L’artificialisation, conséquence notamment de l’étalement urbain, contribue en grande partie à la dégradation de la qualité des sols en France. Son suivi, renforcé par le plan biodiversité, constitue ainsi un enjeu majeur pour l’accompagnement des politiques publiques. Actuellement, le suivi statistique de l’artificialisation des sols et la géolocalisation de son évolution reposent sur une diversité de méthodes et de sources (satellitaires, administratives et observations de terrain). Afin d’interpréter leurs résultats et d’expliquer leurs éventuelles différences, il est donc important d’analyser et de comparer leur méthodologie. Cette étude compare deux dispositifs particuliers de mesure de l’occupation des sols : l’enquête Teruti-Lucas et les fichiers fonciers. Si ces deux dispositifs estiment un taux d’artificialisation proche au niveau national, des différences apparaissent à des niveaux plus fins.
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