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70 actualités
Type : Brèves Votre thématique : Chiffres clés

Quelle quantité de gaz à effet de serre est due aux transports en France ?

  • Chiffres clés

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  • Aménagement

  • Transport et mobilité

Avec 124,9 millions de tonnes de gaz à effet de serre émises en 2024, le secteur des transports reste le secteur le plus émetteur de la France.

Quelle est la consommation d’électricité des datacenters en France ?

  • Chiffres clés

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  • Économie

  • Énergie

Les centres de données ont consommé entre 4 et 6 TWh d’électricité en 2023, un enjeu majeur pour la transition énergétique.

Comment l’empreinte carbone de la France a-t-elle évolué entre 2023 et 2024 ?

  • Chiffres clés

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  • Climat

  • Émissions de gaz à effet de serre et empreinte carbone

En 2024, l’empreinte carbone et les émissions de gaz à effet de serre de la France continuent de baisser, mais à un rythme moins marqué qu’en 2023.

« Jour de la Nuit » : comment évolue la pollution lumineuse ?

  • Chiffres clés

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  • Biodiversité

  • Menaces sur la biodiversité

Samedi 11 octobre 2025, c’est le « Jour de la Nuit ». L’occasion de faire le point sur la pollution lumineuse qui gaspille de l’énergie et perturbe les animaux nocturnes et les végétaux.

Quelle part du territoire français est couverte par des espaces naturels protégés ?

  • Chiffres clés

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  • Biodiversité

  • Mesures de protection et de restauration de la biodiversité

Avec 33,5 % du territoire français couvert par des espaces protégés au 1er janvier 2025, l’objectif de la stratégie nationale pour les aires protégées est déjà dépassé.

Combien a coûté la sécheresse exceptionnelle de 2022 ?

  • Chiffres clés

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  • Climat

  • Adaptation au changement climatique

La sécheresse exceptionnelle de 2022 a eu de nombreuses conséquences : ses coûts directs et indirects sont estimés à plus de 5,6 milliards d’euros.

Nature en ville : dans quelles villes les espaces verts sont-ils les plus accessibles ?

  • Chiffres clés

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  • Société

  • Modes de vie, perception des enjeux environnementaux et des risques

Les parcs, jardins et forêts publics jouent un rôle essentiel dans le cadre de vie des citadins, en offrant des lieux de détente et de loisir au cœur des villes. Mais l’accès à la nature en ville est-il le même pour tous ?

Graphique présentant le lien entre le taux de couverture des parcs et jardins (abscisse en~%) et la part de population y ayant accès à moins de 300~m (ordonnée en~%) -* Paris: 5,6~%; 60,1~% {{Centres urbains de 200~000~habitants ou plus (hors Paris)}} -* Angers: 4,7~%; 50,9~% -* Bordeaux: 5,5~%; 47,2~% -* Cannes-Antibes: 1,3~%; 32,4~% -* Dijon: 7,1~%; 71,0~% -* Grenoble: 2,9~%; 71,0~% -* Lens: 4,3~%; 32,3~% -* Lille: 3,6~%; 51,9~% -* Lyon: 2,7~%; 49,0~% -* Marseille: 1,3~%; 40,3~% -* Montpellier: 2,9~%; 58,8~% -* Mulhouse: 1,7~%; 58,4~% -* Nancy: 2,2~%; 50,7~% -* Nantes: 4,5~%; 46,8~% -* Nice: 2,0~%; 43,1~% -* Orléans: 3,6~%; 47,7~% -* Reims: 3,3~%; 71,8~% -* Rennes: 3,6~%; 62,6~% -* Rouen: 1,6~%; 41,7~% -* Saint-Étienne: 2,1~%; 44,0~% -* Strasbourg: 2,2~%; 58,5~% -* Toulon: 1,4~%; 37,1~% -* Toulouse: 3,9~%; 42,5~% -* Tours: 2,2~%; 49,9~% {{Centres urbains de moins de 200~000~habitants, dense}} -* Amiens: 2,5~%; 50,9~% -* Annecy: 1,1~%; 52,9~% -* Annemasse-Geneva: 2,5~%; 74,0~% -* Arras: 2,2~%; 52,4~% -* Bayonne: 1,4~%; 43,4~% -* Belfort: 1,6~%; 62,7~% -* Besançon: 1,4~%; 53,5~% -* Boulogne-sur-Mer: 2,2~%; 35,4~% -* Brest: 2,9~%; 56,8~% -* Caen: 2,1~%; 40,3~% -* Calais: 1,0~%; 24,7~% -* Chartres: 1,2~%; 34,1~% -* Clermont-Ferrand: 1,8~%; 44,3~% -* Creil: 2,3~%; 75,1~% -* Dunkerque: 2,6~%; 44,3~% -* La Rochelle: 2,8~%; 52,7~% -* La Seyne-sur-Mer: 0,4~%; 12,1~% -* Le Havre: 5,2~%; 36,8~% -* Le Mans: 4,8~%; 55,1~% -* Lorient: 1,8~%; 40,7~% -* Mantes-la-Jolie: 2,1~%; 33,3~% -* Meaux: 4,5~%; 33,3~% -* Melun: 3,3~%; 58,9~% -* Metz: 2,4~%; 50,0~% -* Pau: 1,2~%; 45,9~% -* Perpignan: 1,0~%; 47,3~% -* Poitiers: 1,5~%; 33,2~% -* Troyes: 2,4~%; 32,0~% -* Valence: 1,8~%; 47,9~% -* Vannes: 1,3~%; 41,2~% {{Centres urbains de moins de 200~000~habitants, peu dense}} -* Aix-en-Provence: 0,6~%; 31,8~% -* Avignon: 0,7~%; 38,6~% -* Bourges: 0,4~%; 23,0~% -* Béziers: 0,6~%; 31,4~% -* Chambéry: 1,5~%; 53,9~% -* Cherbourg-en-Cotentin: 1,6~%; 25,7~% -* Colmar: 0,5~%; 48,5~% -* Douai: 1,5~%; 23,1~% -* Fréjus: 0,8~%; 16,3~% -* Hayange: 0,9~%; 35,1~% -* Limoges: 2,5~%; 43,7~% -* Martigues: 2,2~%; 35,2~% -* Montbéliard: 1,4~%; 46,6~% -* Nîmes: 0,3~%; 23,5~% -* Quimper: 0,2~%; 15,2~% -* Saint-Brieuc: 1,3~%; 56,4~% -* Saint-Louis-Bâle: 0,7~%; 55,3~% -* Valenciennes: 0,8~%; 29,8~% {{Ensemble des grands centres urbains: 3,2~%; 52,4~%}} Lecture: 0,2~% de la superficie de Quimper est couverte par des parcs et jardins publics, et 15,2~% de sa population y a accès en moins de cinq minutes de marche. Champ: les 72~grands centres urbains de France métropolitaine. Sources: Insee, Filosofi 2019 ; les contributeurs OpenStreetMap, sous licence OdbL ; IGN, BD TOPO. Traitements: Insee et SDES, 2024

MaPrimeRénov’ en 2023 : combien de logements vont réaliser des économies d’énergie ?

  • Chiffres clés

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  • Économie

  • Énergie

En 2023, 470 000 logements ont terminé des travaux de rénovation énergétiques soutenus par MaPrimeRénov’. Les économies d’énergie devraient atteindre 6,6 MWh/an et par logement en moyenne.

Graphique présentant le lien entre le taux de couverture des parcs et jardins (abscisse en~%) et la part de population y ayant accès à moins de 300~m (ordonnée en~%) -* Paris: 5,6~%; 60,1~% {{Centres urbains de 200~000~habitants ou plus (hors Paris)}} -* Angers: 4,7~%; 50,9~% -* Bordeaux: 5,5~%; 47,2~% -* Cannes-Antibes: 1,3~%; 32,4~% -* Dijon: 7,1~%; 71,0~% -* Grenoble: 2,9~%; 71,0~% -* Lens: 4,3~%; 32,3~% -* Lille: 3,6~%; 51,9~% -* Lyon: 2,7~%; 49,0~% -* Marseille: 1,3~%; 40,3~% -* Montpellier: 2,9~%; 58,8~% -* Mulhouse: 1,7~%; 58,4~% -* Nancy: 2,2~%; 50,7~% -* Nantes: 4,5~%; 46,8~% -* Nice: 2,0~%; 43,1~% -* Orléans: 3,6~%; 47,7~% -* Reims: 3,3~%; 71,8~% -* Rennes: 3,6~%; 62,6~% -* Rouen: 1,6~%; 41,7~% -* Saint-Étienne: 2,1~%; 44,0~% -* Strasbourg: 2,2~%; 58,5~% -* Toulon: 1,4~%; 37,1~% -* Toulouse: 3,9~%; 42,5~% -* Tours: 2,2~%; 49,9~% {{Centres urbains de moins de 200~000~habitants, dense}} -* Amiens: 2,5~%; 50,9~% -* Annecy: 1,1~%; 52,9~% -* Annemasse-Geneva: 2,5~%; 74,0~% -* Arras: 2,2~%; 52,4~% -* Bayonne: 1,4~%; 43,4~% -* Belfort: 1,6~%; 62,7~% -* Besançon: 1,4~%; 53,5~% -* Boulogne-sur-Mer: 2,2~%; 35,4~% -* Brest: 2,9~%; 56,8~% -* Caen: 2,1~%; 40,3~% -* Calais: 1,0~%; 24,7~% -* Chartres: 1,2~%; 34,1~% -* Clermont-Ferrand: 1,8~%; 44,3~% -* Creil: 2,3~%; 75,1~% -* Dunkerque: 2,6~%; 44,3~% -* La Rochelle: 2,8~%; 52,7~% -* La Seyne-sur-Mer: 0,4~%; 12,1~% -* Le Havre: 5,2~%; 36,8~% -* Le Mans: 4,8~%; 55,1~% -* Lorient: 1,8~%; 40,7~% -* Mantes-la-Jolie: 2,1~%; 33,3~% -* Meaux: 4,5~%; 33,3~% -* Melun: 3,3~%; 58,9~% -* Metz: 2,4~%; 50,0~% -* Pau: 1,2~%; 45,9~% -* Perpignan: 1,0~%; 47,3~% -* Poitiers: 1,5~%; 33,2~% -* Troyes: 2,4~%; 32,0~% -* Valence: 1,8~%; 47,9~% -* Vannes: 1,3~%; 41,2~% {{Centres urbains de moins de 200~000~habitants, peu dense}} -* Aix-en-Provence: 0,6~%; 31,8~% -* Avignon: 0,7~%; 38,6~% -* Bourges: 0,4~%; 23,0~% -* Béziers: 0,6~%; 31,4~% -* Chambéry: 1,5~%; 53,9~% -* Cherbourg-en-Cotentin: 1,6~%; 25,7~% -* Colmar: 0,5~%; 48,5~% -* Douai: 1,5~%; 23,1~% -* Fréjus: 0,8~%; 16,3~% -* Hayange: 0,9~%; 35,1~% -* Limoges: 2,5~%; 43,7~% -* Martigues: 2,2~%; 35,2~% -* Montbéliard: 1,4~%; 46,6~% -* Nîmes: 0,3~%; 23,5~% -* Quimper: 0,2~%; 15,2~% -* Saint-Brieuc: 1,3~%; 56,4~% -* Saint-Louis-Bâle: 0,7~%; 55,3~% -* Valenciennes: 0,8~%; 29,8~% {{Ensemble des grands centres urbains: 3,2~%; 52,4~%}} Lecture: 0,2~% de la superficie de Quimper est couverte par des parcs et jardins publics, et 15,2~% de sa population y a accès en moins de cinq minutes de marche. Champ: les 72~grands centres urbains de France métropolitaine. Sources: Insee, Filosofi 2019 ; les contributeurs OpenStreetMap, sous licence OdbL ; IGN, BD TOPO. Traitements: Insee et SDES, 2024

Comment a évolué la précarité énergétique en 2022 ?

  • Chiffres clés

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  • Économie

  • Énergie

En 2022, 10,8 % des ménages étaient en situation de précarité énergétique (3,2 millions au total), soit une baisse de 0,9 point par rapport à 2021.

Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Difficile de recruter dans les métiers de l’économie verte ?

  • Chiffres clés

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  • Économie

  • Métiers et emplois

En 2022, les métiers de l’économie verte représentent 18 % des intentions d’embauche, mais ⅔ des offres d’emploi restent difficiles à pourvoir en 2022.

Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.