Biodiversité

Infographies et vidéos de synthèse sur la biodiversité

Mis à jour le | Commissariat général au développement durable

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Préserver la biodiversité et les écosystèmes passe en amont par une bonne appropriation de leur rôle et des services qu’ils rendent. Dans cette perspective, plusieurs outils ont été conçus pour permettre au plus grand nombre de bien s’approprier les enjeux.

Qu’est ce que la biodiversité ?

En appui du plan Biodiversité de juillet 2018, un portail de ressources pédagogiques a été mis en place.

Infographies

Des livrets synthétiques viennent également en complément :

 La biodiversité en France en 2018
La biodiversité en France en 2018
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2 espèces par jour : C’est le nombre de nouvelles espèces découvertes par la science en France.

  • 50 % d’insectes
  • 90 % en outre-mer

19 424 espèces endémiques en France

  • 4 sur 5 en outre-mer
  • 22 % des espèces sont endémiques dans les îles d’outre-mer (3 % en métropole)

53 % : c’est la part du territoire métropolitain peu anthropisé
81 % des écosystèmes européens sont présents en métropole. Ce chiffre illustre la grande richesse de la biodiversité française.
68 % des habitats menacés au niveau européen sont présents en métropole. C’est le cas des prairies de fauche, de certaines dunes ou des glaciers.
18 % des espèces menacées au niveau européen sont présentes en métropole. C’est le cas du Vison, du Macareux moine ou de l’esturgeon.
24 % de Français jugent que l’érosion de la biodiversité est un des problèmes environnementaux les plus préoccupants.

 La biodiversité en France - données clés 2018
La biodiversité en France – données clés
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  • L’artificialisation des sols en France métropolitaine a augmenté de 1,4 % tous les ans de 2006 à 2015, soit l’équivalent d’un département comme la Drôme tous les 10 ans.
    -* Le nombre de participants aux programmes de sciences participatives a été multiplié par 2,5 depuis 2011.
    -* La population de chauve-souris a diminué de 38 % de 2006 à 2016.
    -* 29 % des sites suivis montrent une perte de surface de coraux vivants en 2017.
    -* Les aires protégées fortes représentent 1,4 % du territoire métropolitain au printemps 2018.
    -* 41,8 millions de données biodiversité sont accessibles dans la base de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) en 2018.
    -* 60 des 100 espèces exotiques envahissantes les plus néfastes au monde sont présentes dans les outre-mer français en 2016.

Extrait de Biodiversité : Les chiffres clés - édition 2018

Vidéos

La biodiversité, c'est la vie
La biodiversité, c’est la vie ! La biodiversité nous en faisons partie…Nous en dépendons... Nous en bénéficions... Respirer Se nourrir Produire des matières premières Récolter Innover Se protéger se divertir. Pourtant nous la maltraitons. Destruction des milieux naturels. Surexploitation d’espèces sauvages. Pollution. Prèe de 1.8 millions d’espèces sur la planète, 28% sont menacées. Le rythme actuel de disparition des esssspèces est 100 à 1000 fois supérieur au taux naturel d’extinction. Est-il déjà trop tard pour agir ? La France mobilisée pour sa biodiversité. En France, une biodiversité remarquable. Un patrimoine naturel exceptionnel en Métropole et en outre-mer. Présente dans 3 océans, 2nd espace maritime au monde. Des paysages et des milieux très variés. Plus de 180000 espèces présentes en Métropole et en outre-mer (10% des espèces connues sur Terre, 20% marines, 80% terrestres). 600 espèces nouvelles sont décrites chaque année en France. Une biodiversité également en danger. En 10 ans, 590000 hectares d’espaces naturels, forestiers et agricoles remplacés par des routes, habitations, zones d’activités, parkings (soit la taille d’un département comme la Seine-et-Marne. En Métropole, 33% des populations d’oiseaux des milieux agricoles ont disparu en 30 ans. 29% de la surface des coraux vivants a été perdue en outre-mer en 2017. En Métropole, 26% des espèces évaluées en 2018 sont menacées, dans les outre-mer insulaires : 39%. Face à l’urgence, la France a le devoir d’agir. L’état, les collectivités locales, les associations et les entreprises agissent. 90 mesures rassemblées dans un plan national ! Zéro plastique dans les océans. 100% des récifs coralliens français protégés à horizon 2025. Réduction de l’usage des pesticides. Des espaces protégés plus nombreux et bien gérés. La nature pour tous, en ville et à la campagne. L’éducation pour tous pour apprendre à protéger la biodiversité. La limitation de la consommation d’espaces naturels. Dans nos territoires, vous aussi, vous agissez déjà. Chaque geste compte. La France s’engage aussi pour inscrire la biodiversité au sommet des agendas européens et internationaux. Juin 2020 à Marseille : Accueil du congrès mondial de L’UICN. Octobre 2020 à Kunming en Chine : 15ème conférence sur la diversité biologique. Apprenons à protéger la biodiversité. Rendez-vous sur biodiversitetousvivants.fr. Biodiversité tous vivants. Ministère de la transition écologique, République française.
Préserver la biodiversité, c'est aussi NOUS préserver
Tous les êtres vivants, tous les milieux naturels sont liés entre eux. C’est ce qu’on appelle la biodiversité. Les conditions d’existence des uns dépendent de celle des autres et la grande diversité du monde vivant assure l’équilibre de tous. Mais jour après jour des espèces et des milieux naturels disparaissent et chaque disparition compromet un peu plus les équilibres naturels, notre équilibre. Préserver la biodiversité c’est aussi nous préserver [Musique]

Pour tout savoir rendez-vous sur biodiversitweb.fr

État actuel de la planète et de la biodiversité
On a dit biodiversité, fraction vivante de la nature. Ce n’est surtout pas uniquement un catalogue d’espèces, ce n’est pas ça. On fait des catalogues, on fait des inventaires, ça c’est largement insuffisant.
En fait, c’est tout l’ensemble des relations que les êtres vivants ont établie entre eux et avec leur environnement. C’est ça la biodiversité. La question qui est posée aujourd’hui, c’est qu’on sait qu’elle s’en va et on s’est demandé s’il n’y avait pas des limites à cette planète et des limites aux activités humaines sur cette planète.
On a fait beaucoup de papiers très généraux publiés dans des grandes revues, c’est dans Nature en 2009, où on regarde les grandes questions environnementales, climat qui change, acidification de l’océan, artificialisation des sols avec les cycles du phosphore et de l’azote, le trou dans la couche d’ozone, l’usage de l’eau potable, la pollution atmosphérique, la pollution des eaux et des sols. Et on voit que cette biodiversité est un des éléments essentiels. Elle part très vite, beaucoup trop vite, en totale accélération.
Et je vous ai mis une image ici de réfugiés africains après les événements de Tunisie en Méditerranée, avec 7 milliards d’humains, demain 9, cet humain est profondément imbriqué avec ces changements qu’il contribue bien sûr lui aussi à provoquer en permanence. Beaucoup de travaux sortent en ce moment, Fall of the Wild, disparition du vivant sauvage du sauvage, dans Science, celui-ci, il y a maintenant 3 ans, vous voyez que partout, dans les océans, dans les eaux douces, dans les eaux saumâtres, sur le littoral, sur les continents, les espèces s’en vont, et vous voyez que la référence est 1970, un document sorti la semaine dernière par le World, le WWF, nous raconte qu’en 44 ans, on a perdu la moitié, non pas des espèces, mais des individus des populations, sur à peu près les 1000 populations qu’ils suivent en permanence. Ça s’accélère en permanence, et c’est vrai qu’aujourd’hui, nous sommes 7 milliards d’humains, nous représentons en biomasse de mammifères, donc on l’a vu tout à l’heure, quelque chose qui est considérable, 90% de cette biomasse.
Alors quelles espèces s’en vont ? Un grand document a été établi, c’était en 2005, après une commande des chefs d’État, Rémi Rakiavic en 2000, de faire un état de la planète. Ce document s’appelle Millenium Ecosystem Assessment, et il va dire deux choses. Près de 1400 chercheurs du monde entier ont participé à ce document.
D’abord, on va remettre au goût du jour une notion qui était assez ancienne, qui s’appelle la notion de service rendu par les écosystèmes, qu’est-ce que l’humain en tire ? Quand on perd une fonction d’un écosystème, qu’est-ce qu’on perd en service ? Et la seconde, bien sûr, qui a fait beaucoup de bruit, c’était, les espèces s’éteignent à un rythme environ 1000 fois plus rapide que ce que nous donnent les paléontologues sur les 500 derniers millions d’années. On a revu ce chiffre à la baisse un peu récemment, on est à 300, j’ai honte d’annoncer un chiffre comme ça, les espèces partent 300 fois plus vite qu’auparavant. Alors je vous ai mis quelques images ici, bien sûr, des éléphants nains de méditerranée, du pigeon migrateur américain, du dodo à l’île Maurice, du pingouin arctique chez nous, et puis du baiji, le dauphin du Yangtze qui s’éteint officiellement en 2007.
On annonce la fin du dauphin du baiji, on me dit on s’en fout, ton dauphin, on ne le connaissait même pas. Oui, n’empêche qu’il vivait dans un fleuve où l’eau était tellement chargée que quand on met sa main dans l’eau, on voit plus ses doigts, il avait inventé la plus fabuleuse écholocalisation jamais inventée par la vie, depuis qu’elle existe, superbe modèle de bio-inspiration, de biomimétisme pour l’humanité. Il est parti.
Je vous ai mis à droite des images faites dans les grottes préhistoriques que j’évoquais tout à l’heure, Lascaux, Altamira ou Chauvet, où ces espèces sont aussi parties, se sont éteintes. Ceci a amené beaucoup de gens à poser une question, reprise d’un papier publié en mars 2011 dans la revue Nature, sommes-nous en train en ce moment de mettre en place les conditions d’une sixième grande crise d’extinction ? Il y en a eu 60 depuis 500 millions d’années, dont cinq importantes. La plus grande, s’est produite vers 252 millions d’années.
Pour des raisons qui sont des raisons de destruction et de pollution, on arrache les écosystèmes, on les détruit, on les pollue, on les fait disparaître. La seconde, c’est la surexploitation des stocks. Il y a deux grands exemples, ce sont les pêches maritimes dans l’océan et la forêt tropicale sur les continents.
Il part l’équivalent d’un quart de la France en surface chaque année en forêt tropicale. On a éradiqué entre 50 et 90% de tous les grands poissons pélagiques sur 15 ans. La troisième raison, c’est la dissémination anarchique d’espèces partout.
Je vous ai mis ici un petit dinoflagellé qui s’appelle Alexandrium, très joli comme petite cellule. Quand on l’embête un petit peu, elle émet une toxine qui tue un humain en 20 minutes. Elle fait le tour du monde gratuitement dans ces grands pétroliers géants qui ballastent 200 000 tonnes, 300 000 tonnes d’eau de mer pour en échange récupérer du brut.
J’étais à Oman il y a quelques temps avec le premier ministre qui me disait, dans le port d’Oman, on n’a jamais eu de marée rouge et d’événements toxiques. Depuis cinq ans, on a des gros soucis. Je l’ai pris par la manche, face à sa fenêtre, il y avait 16 pétroliers géants qui attendaient, qui chacun avaient ballasté de l’eau américaine ou de l’eau européenne dans les eaux Omanies.
Je vous ai mis des salmonelles ici dans des cuves de tanker. La microméduse qui est là est introduite en mer noire en 1980. Dix ans après, elle fait un million de tonnes de biomasse, elle effondre 40 000 tonnes de pêche à l’anchois.
Et je vous ai mis à droite la quatrième raison, c’est le climat qui se dérègle. Et dans l’océan, le climat, ce n’est pas que la température, c’est aussi la remontée du niveau de la mer. Ces quatre grandes raisons expliquent aujourd’hui les difficultés de cette biodiversité.
Alors, on a reclassé cette crise écologique actuelle avec des termes qui sont bien sûr le dérèglement climatique plus qu’un changement, le productivisme agricole, on a agricolisé la planète, la pénurie d’eau potable, les pêches qui s’effondrent, la déforestation qui progresse, la biodiversité qui s’écroule et ces produits toxiques disséminés partout, même dans des zones où il n’y a pas d’humains. Le combat, c’est effectivement les ONG qui s’en sont emparés pour dire voilà, sauvons les espèces emblématiques remarquables, je refuse ce terme, la nature n’a pas inventé des espèces remarquables ou des espèces utiles ou nuisibles. On peut les appeler remarquées, ça je veux bien effectivement, nous scientifiques on veut sauver le vrac, on a besoin de tout, tout ça lié à une espèce que je vous ai mis ici en bas, accumulée sur une plage en pays catalan, vous avez là des belges, des parisiens, des allemands qui viennent tous se baigner à 18h22, qui ont économisé six mois pour ça, dans une eau qui est remplie de streptocoques fécaux, sans que je fasse la mesure, je sais ce qu’on trouve dans l’eau à ce moment-là, là vous avez une belle image d’Homo sapiens…

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L'Humain dans la Biodiversité
Gilles BOEUF Professeur, Sorbonne Université
Nous allons parler des interactions entre l’humain et la nature sur un thème général : l’évolution du monde. Et pour ceci, je vais partir de quelques écosystèmes particuliers.
En haut à droite, un morceau d’océan particulier, le corail, c’est le grand récif du grand sud en Calédonie, dans le Pacifique, qui est un des écosystèmes marins au monde le plus riche en nombre d’espèces ramenées à la surface : 5000 à 7000 espèces par kilomètre carré ici.
Je vous ai mis un peu l’équivalent terrestre en bas à gauche, une forêt tropicale, nous sommes en Guyane, en Amérique du Sud où là on peut trouver dans la forêt primaire, peut-être 50 000 espèces au kilomètre carré. Donc ce sont des écosystèmes extrêmement riches en nombre d’espaces ramenés à la surface.
Et je vous ai mis un cas un peu particulier en haut à gauche, une grande ville du monde, Shanghai en Chine, 30 millions d’habitants, la moitié des Français, presque, dans un seul système particulier. Et c’est vrai que l’humain, il a amené en fait cette nature sauvage de l’océan ou des continents vers les villes.
Et je vous ai mis en bas à droite, une image de la température du monde qui grimpe en ce moment, et bien sûr, le climat a toujours changé. On le raconte souvent en fait, il a beaucoup aidé d’ailleurs la biodiversité. Mais aujourd’hui, il change trop vite. Et cette accélération de la température crée, bien sûr, des contraintes pour le vivant, et on va en parler là maintenant durant les minutes qui restent.
Alors, dans le changement global, il faut bien voir que tout est lié.
Alors, à quel moment cet humain a-t-il commencé à se séparer de cette nature qu’on évoquait ?
Domestication du feu, on est en Afrique vers 1,5 million d’années. Ça va permettre à l’humain en fait de laisser à distance les grands prédateurs. Ça va lui permettre de sortir de l’Afrique, il y avait des grandes vagues de froid en Europe, en Asie à l’époque. Ça va lui permettre aussi de durcir les épieux de chasse et de guerre et aussi bien sûr plus tard, de cuire les aliments. Et quand vous consommez une viande sur un cadavre de zèbre tué par des lions 10 jours avant, il vaut mieux effectivement la cuire avant de la consommer.
La deuxième grande date, c’est le néolithique. C’est le moment où l’humain s’arrête de bouger, il ne reste plus qu’Homo sapiens sur la terre, alors que le feu a été domestiqué par d’autres humains, par des erectus, et là, 8000 - 14 000 ans, on va s’arrêter. Les femmes font beaucoup de bébés et on va inventer domestication et également culture, agriculture. Et on va commencer à avoir des impacts très forts sur l’environnement.
La troisième date c’est l’invention de la machine à vapeur. On passe en fait du cheval animal au cheval vapeur, la première locomotive aux États-Unis. Et puis après, une date qui m’intéresse beaucoup, c’est Hiroshima et Nagasaki. Pourquoi ? Parce que c’est la première fois où, grâce à sa technique, ses connaissances, l’humain crée un événement de l’ordre de grandeur d’une grande catastrophe naturelle sur un site précis. Et c’est aussi le moment où l’explosion de la démographie va se produire. Nous étions 2,5 milliards d’humains. On a multiplié par plus que 3, on va multiplier par 4 la population humaine sur moins d’un siècle, ce qui est bien sûr considérable.
Elle l’est parce qu’effectivement vous avez des questions de destruction des écosystèmes ou de pollution partout. Vous avez également des problèmes qui sont liés à la surexploitation des stocks. Les meilleurs exemples sont les pêches maritimes en mer et la forêt tropicale sur les continents. Des problèmes qui sont liés à la dissémination de tout et partout. On transporte tout partout, là je vous ai mis un dinoflagellé qui fait le tour du monde dans des bateaux géants alors qu’elle est capable de produire une toxine qui tue un humain en 20 minutes. Il s’appelle Alexandrium, et puis des petites microalgues ici emmenées en mer Noire, et qui ont effondré les pêcheries d’anchois de la mer Noire, alors que cette cellule venait des États-Unis. Et enfin le climat, mais je ne le mets qu’en dernier. Le climat qui change bien sûr aussi explique ce qui se passe. Mais le climat qui change se surimpose à ce qu’on continue à faire : on détruit, on pollue, on dissémine, et on surexploite. Et donc on en arrive en fait, aux 7 plaies de la crise écologique aujourd’hui telle qu’elles sont définies : un productivisme agricole. On peut changer, on peut faire différemment sans empoisonner les gens...
Nous étions le 12 décembre 2015, le président Fabius et monsieur Ban Ki Moon annoncent la réussite des accords de Paris, ce qui est fabuleux : 195 pays, réussite diplomatique, réussite bien sûr, également générale, c’est très important. Mais aussi, se poser des questions sur ce qui va être fait par la suite. Et je termine par une image sur un moment qui m’avait bouleversé à l’époque des accords de Paris. C’était le moment où on s’est loggé dans la grande salle des Nations Unies, donc je pense que c’était l’Action Day, le 2 ou le 4 décembre 2015. On se met en relation avec la station spatiale internationale, et là, il y a deux cosmonautes dedans. Un Américain, et un Russe. Et qu’est-ce qu’ils nous disent ? Ça m’a beaucoup beaucoup touché. Ils nous disent voilà : vous discutez du futur de la Terre. Et après, bien sûr, les accords de Paris, le 22 avril 2016, aux Nations Unies, on a décidé de la ratification des accords de Paris, qui ont été ratifiés et qui sont entrés en activité le 4 novembre 2016. Ils nous disent voilà : "c’est important ce que vous faites. Nous, on a une petite fenêtre face à nous. Et à travers ce petit hublot, nous voyons la totalité du globe terrestre, avec son merveilleux océan bleu, et qu’estce qu’on voit en ce moment ? On voit les forêts d’Indonésie en train de brûler. On voit le nuage de pollution sur la Chine, on voit la pollution dans le golfe du Mexique, et on voit l’Afrique en train de devenir un désert.

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Impacts du changement climatique sur les écosystèmes et la biodiversité
Dans cette vidéo, Paul Leadley discute de l’adaptation des écosystèmes et de la biodiversité au changement climatique, en cours et à venir. Il met en évidence la capacité plus ou moins forte de certains groupes d’espèces à s’adapter aux changements affectant leurs conditions de vie.

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