Les ongulés sauvages
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Des effectifs qui augmentent malgré des attributions de quotas en constante progression
Au niveau national, le cerf élaphe, le chevreuil, le sanglier, le chamois des Alpes, l’isard des Pyrénées, le mouflon (de Corse et méditerranéen), le daim et le cerf sika ont le statut d’ "espèce de gibier dont la chasse est autorisée". Des quotas cynégétiques sont attribués chaque année (appelés « attribution ») et constituent le plan de chasse. Le nombre d’individus chassés (appelé « réalisation » ou « prélèvement ») peut être limité afin de préserver l’espèce et éviter son extermination (cas du cerf sika, de l’isard).
Les tableaux de chasse nationaux permettent de suivre la progression des populations. Ainsi, en quarante-trois ans (1973 – 2017), le nombre de sangliers tués annuellement a été multiplié par 21 et celui des chevreuils par 11. Cependant, les prélèvements restent globalement inférieurs à l’accroissement naturel des populations.
Évolution des réalisations des espèces chassables d’ongulés sauvages entre 1973 et 2017 en France métropolitaineSur les vingt dernières années (1998-2017), le Daim (+274%), le Sanglier (+120%) et le Cerf élaphe (+93%), sont les espèces dont les dynamiques des populations ont le plus progressées. À l’inverse, les populations de Cerf sika (-30%) et d’Isard (-9%) accusent une dynamique moins prononcée.
Évolution sur 20 ans (1998-2017) des tableaux de chasse (réalisations hors enclos parcs) des ongulés sauvages en France (en %)Les ongulés de plaine
Les cervidés
Depuis 1985, une enquête sur les massifs à cerfs est réalisée par le Réseau ongulés sauvages ONCFS/FNC/FDC et a été renouvelée en 1988, 1991, 1995, 2000, 2005 et 2010. Elle permet de caractériser l’évolution des populations de cerf élaphe et des secteurs géographiques dans lesquelles elles vivent.
Selon cette enquête, le cerf (tout comme le chevreuil) est en forte augmentation en France depuis 1985, tant en termes d’effectifs que de surface forestière colonisée.
À l’exception de quelques zones de montagne où les grands carnivores sont à nouveau présents, les cervidés n’ont plus de prédateurs. Quand les populations deviennent localement trop importantes, elles peuvent entraîner des dégâts importants sur les surfaces agricoles et forestières ainsi que dans les milieux naturels. La chasse est un moyen de régulation des populations.
Selon cette dernière enquête, en 2010, le cerf occupait 16 millions d’hectares dans 83 départements, dont 7.4 millions d’hectares de forêts (soit 49 % du territoire boisé national). La superficie occupée a été multipliée par 2 en vingt-cinq ans. Les effectifs nationaux estimés ont été multipliés par 4 en vingt-cinq ans, passant d’environ 37 500 en 1985 à environ 160 000 en 2010. La progression marque cependant un ralentissement ces cinq dernières années.
Estimée entre 1.5 millions et 2 millions d’individus, le chevreuil est l’espèce la plus représentée sur le territoire. Les effectifs ont été multipliés par plus de 3 ces vingt dernières années. La majeure partie de l’effectif se situant dans le quart nord-est (Bas-Rhin, Moselle, Meuse, Haute-Marne, Vosges) et le sud-ouest (Landes, Gironde, Dordogne).
L’évolution des tableaux de chasse réalisés depuis 1973 reflète également la progression récente du Cerf élaphe et du Chevreuil. Sur cette période récente (1998-2017), le nombre d’animaux abattus a augmenté de 93 % pour le Cerf élaphe et de 48 % pour le Chevreuil. Le taux de réalisation des attributions (rapport entre les effectifs d’animaux effectivement abattus et ceux qui pouvaient l’être) a atteint 124 % pour le Cerf élaphe et de 55 % pour le Chevreuil.
Tableau de chasse national du Cerf élaphe entre 1973 et 2017En ce qui concerne les espèces dites marginales (Cerf sika et Daim), sur cette même période, le nombre d’animaux abattus a diminué de 30 % pour le Cerf sika et augmenté de 274 % pour le Daim. Le taux de réalisation des attributions a atteint 50 % pour le Cerf sika et de 174 % pour le Daim.
Tableau de chasse national du Cerf sika entre 1973 et 2017Les sangliers
Avec près de 760 000 individus prélevés en 2017, le sanglier est l’animal le plus prélevé. Les prélèvements ont plus que doublé en vingt ans (1998-2017). Cette dynamique est retrouvée plus globalement en Europe. 74 départements ont eu un tableau de chasse qui a augmenté de plus de 10% entre 2011 et 2016, 11 départements ont eu un tableau de chasse qui n’a pas changé, 8 départements ont eu un tableau de chasse qui a diminué de 10%.
Tableau de chasse national du Sanglier entre 1973 et 2017Les ongulés de montagne
En 2010, l’inventaire des populations françaises d’ongulés de montagne est venu compléter les données déjà existantes des précédents enquêtes (1989, 1995, 2006). La tendance générale pour l’ensemble des populations d’ongulés de montagne est à la hausse. Comme le montre le graphique ci-dessous, certaines espèces comme le chamois, ont des effectifs qui ont fortement progressés ces vingt dernières années.
Effectifs estimés des populations de chamois, mouflons, isards et bouquetinsLes chamois et mouflons
Le chamois a une population estimée au minimum à 103 345 individus en 2010, les effectifs de ces espèces ayant plus que triplés depuis 1988. L’augmentation a été forte de 1988 à 1994 (+ 43%) puis très forte de 1994 à 2005 (+ 75 %) mais nettement plus faible entre 2005 et 2010 (+ 6 %). La population de chamois continue de progresser, même si en parallèle les attributions de quotas de chasse ont été multipliées par plus de 9 au cours de la période 1988-2017, passant de 1 677 à 15 651 animaux. Les effectifs continuent de progresser en grande partie par l’absence de prédateurs, mais aussi par le développement croissant des espaces naturels de montagne lié à la déprise des terres agricoles.
Tableau de chasse national de Chamois entre 1973 et 2017La population de mouflon est estimée à 19 510 individus, les effectifs ayant été multipliés par trois depuis 1988. Les attributions de quotas de chasse ont été multipliées par presque 5 au cours de la période 1988-2017, atteignant 4 312 individus. Les populations de mouflon méditerranéen sont issues d’introductions directes particulièrement pour la chasse, seules quelques-unes se sont constituées par essaimage d’une colonie introduite.
Tableau de chasse national du Mouflon entre 1973 et 2017Les isards
Avec 31 160 individus, l’isard présente quant à lui une progression moins importante entre 1994 et 2010 (+26 %), même s’il existe des disparités entre les différentes populations. Entre 1988 et 2010, les effectifs estimés de la population ont toutefois doublé. Les quotas de chasse ont progressé de 1990 à 1996, puis les attributions ont varié autour des 3 000 individus avec 3 013 individus en 2017. Parmi les 51 zones de présence inventoriées en 2010, 78 % ont une origine naturelle, 8 % ont fait l’objet d’un renforcement des populations initiales par lâchers d’animaux et les 6 % restantes correspondent à des secteurs de réintroduction. Cette espèce n’a jamais fait l’objet de tentative d’introduction hors de son aire de distribution historique, contrairement au chamois des Alpes.
Tableau de chasse national de l’Isard entre 1973 et 2017Un accroissement général des aires de répartition des ongulés sauvages
Les ongulés de plaine
Le cerf élaphe
Alors que le cerf élaphe était faiblement présent dans la moitié sud de la France au milieu des années 1980, la tendance est désormais à une homogénéisation des effectifs entre le nord et le sud. Cela se traduit par des évolutions inégales selon les zones géographiques :
- d’une part, un très fort accroissement des populations dans les départements montagneux : en moyenne, les effectifs ont été multipliés par 11 en vingt-cinq ans dans les départements alpins et par 9 dans les départements pyrénéens ;
- d’autre part, une progression inférieure à la moyenne nationale pour les départements dépassant déjà 1 000 têtes en 1985 (sauf le Loir-et-Cher).
Les plus fortes concentrations de population se trouvent dans les massifs forestiers de plaine et de basse altitude et entre 2005 et 2010, l’extension du cerf s’est principalement effectuée dans les zones où il était déjà présent.
Répartition du Cerf élapheDepuis plus de vingt ans, la distribution géographique (hors enclos) des populations de daim et cerf sika a fortement progressé. Contrairement au daim rencontré aujourd’hui dans plus de la moitié des départements, mais dont la progression géographique semble s’amortir, la situation du second a peu évolué en dix années. Le chamois (Rupicapra rupicapra rupicapra) et l’isard (Rupicapra pyrenaïca pyrenaïca) sont des espèces très proches, mais leur répartition géographique diffère. Le chamois peuple de façon naturelle les Alpes (Hautes-Alpes, Savoie, Isère et Alpes maritimes) et le Jura. On le retrouve aussi dans les Vosges et le Massif Central (Cantal) où il a fait l’objet d’une introduction respectivement en 1956 et 1978. L’enquête de 2011 qui a permis d’inventorier les populations françaises d’ongulés de montagne a mise en évidence une diminution de l’expansion géographique de l’espèce. Chaque année, le chamois des Alpes colonise aujourd’hui 137 km² contre 433 km² (enquêtes 1988 et 2005). Cet accroissement de l’aire de distribution résulte des mesures mises en place sur le territoire (création d’un réseau de réserves de 2 250 km², limitation des prélèvements, instauration d’un plan de chasse, introduction et renforcement des populations). L’isard est quant à lui uniquement présent dans les départements de la chaîne des Pyrénées, principalement dans les Hautes-Pyrénées, les Pyrénées Orientales et l’Ariège. L’espèce a également progressé en France mais son aire de répartition s’est ralentie depuis le début des années 1990. En 1994, il occupait près de 500 km². Cette dynamique s’explique par le fait que l’espèce a colonisé l’ensemble des habitats dont elle dispose dans les Pyrénées françaises. Tout comme le chamois, l’isard des Pyrénées a bénéficié de mesures similaires qui ont favorisé son développement (création d’un réseau de réserves de 1 385 km², limitation des prélèvements, mise en place de quota de tir, instauration d’un plan de chasse, introduction et renforcement des populations). Le mouflon méditerranéen (Ovis gmelini musimon x Ovis sp.) a été introduit en France dans le Mercantour en 1950. Son aire de répartition est désormais plus large, et se concentre essentiellement dans les départements de montagne du sud de la France (Provence, Languedoc, Pyrénées orientales) et des Alpes sèches où l’espèce a nettement progressé par rapport au reste de son aire de présence. Les premières aires de répartition abritent à elles seules 52% de l’effectif national. Une attention particulière est menée sur cette espèce car actuellement de nombreuses colonies végètent (un quart de celles créées il y a 20 ans comptent moins de 50 individus occupant moins de 5 000ha). Contrairement au mouflon méditerranéen, le mouflon de Corse (Ovis gmelini musimon var.corsicana), qui a fait l’objet de lâchers dans les Pyrénées Orientales et dans les Alpes de Haute-Provence, a son aire vitale qui est stable depuis 2005. Cette tendance s’explique par plusieurs facteurs : faible reproduction, pression sur l’habitat (feux de forêt, fermeture du milieu, dérangement), braconnages, etc. Le bouquetin des Alpes (Capra ibex ibex), cantonné en Savoie jusqu’au début des années 50 est répertorié aujourd’hui dans 7 départements alpins en occupant plus de 2 480 km². Cette dynamique résulte de campagnes de réintroduction. Malgré des effectifs nationaux importants, le peuplement reste fragile puisque la moitié des populations est composée de moins de 200 individus. De plus, l’espèce est sensible aux perturbations d’origine humaine, ce qui explique sa lente progression sur de nouveaux territoires. Afin de protéger les espèces d’ongulés sauvages, des vagues de réintroduction ou la définition de périmètre de protection ont été mis en place. À la fin des années 1980, des campagnes de réintroduction d’ongulés de montagne ont eu lieu pour le chamois, l’isard, le mouflon ou encore le bouquetin afin d’étoffer les effectifs jusqu’alors faibles. Par exemple, les effectifs de chamois ont été maintenus à l’aide d’un renforcement de la population naturelle initiale par des lâchers d’animaux ou par l’introduction de nouvelles populations dans certains secteurs. En 2010, l’inventaire qui a été réalisé sur 263 zones de présence a mis en évidence que 83% des individus était issus d’une souche naturelle, 12% provenaient d’un renforcement par lâcher et 5% d’une nouvelle introduction. Plus récemment, en 2016, dans les Gorges du Tarn, 25 individus ont été relâchés et ont rejoints les 5 individus ayant survécu de 2015. Rappelons que pour que les effets d’une campagne soient optimisés, 30 individus sur 3 ans doivent être lâchés. Espèce au bord de l’extinction à la fin du 19ème siècle, le bouquetin fait quant à lui, aujourd’hui, l’objet de dispositifs de protection qui ont permis d’améliorer l’état de conservation de l’espèce. Dans les années 1960, dans les Alpes, le bouquetin, a été protégé par la création de territoires à protection forte, puis par la réalisation d’opérations de réintroduction. À titre d’exemple, le Parc national de la Vanoise, premier parc national français, a été créé en 1963 pour la protection de cette espèce. À partir des quelques dizaines d’individus présents dans le massif de la Vanoise en 1960, la population a atteint, grâce aux réintroductions, 1 650 animaux en 1986 puis 4 300 en 1995 et enfin plus de 9 000 animaux en 2010 répartis en 33 populations distinctes. Cette évolution rapide des effectifs s’est traduite par un élargissement de l’aire de répartition de l’espèce. La disparition de la population initiale a entrainé une diminution de la diversité génétique non sans conséquences puisqu’elle doit s’adapter aujourd’hui aux évolutions de son environnement : climat, ressources alimentaires, maladie. Depuis 2017, un programme européen transfrontalier France/Italie (programme ALCOTRA Bouquetin) a pour but d’assurer une meilleure gestion conservatoire de l’espèce dont le domaine vital couvre l’arc alpin. Devant leur nombre croissant sur le territoire, les ongulés sauvages exercent une pression sur le milieu naturel ainsi que sur les activités humaines (couvert forestier fragilisé, hybridation des populations souches, collisions, dégradation des cultures). En France, on constate, en particulier dans les milieux montagneux forestiers, une cohabitation de plus en plus forte des espèces d’ongulés de plaine et de montagne. 23% des forêts françaises accueillent trois espèces d’ongulés ou plus générant une pression significative sur les habitats et les espèces qui s’y trouvent. La présence de plusieurs ongulés sur un même territoire peut avoir un impact significatif sur la faune. Par exemple, le cerf sika peut affecter les populations sauvages en polluant génétiquement les souches de cerf élaphe. Par ailleurs, les ongulés sauvages peuvent modifier par différentes activités, la composition et la diversité des communautés végétales (abroutissement, écorçage, retournement de la surface du sol, etc.). Par exemple, le cerf et le chevreuil sont responsables de l’échec des régénérations naturelles de sapin pectiné du fait de l’abroutissement sur les semis (30-40% des semis consommés la première année). Le daim peut provoquer quant à lui de gros dégâts aux peuplements forestiers car il écorce beaucoup et qui plus est, présente un comportement plus grégaire et sédentaire que le cerf élaphe. En fin, le cerf sika peut également causer d’importants dégâts car il affectionne préférentiellement les boisements forestiers denses. Chaque année, le nombre de collisions routières est estimé à plus de 23 400 toutes espèces confondues (16 300 attribuées au chevreuil, 5 550 au sanglier et 1 550 au cerf). Afin de favoriser les échanges entre réservoir de biodiversité quelques fois fragmentés par un réseau routier relativement dense, des couloirs sont conçus. Lors de l’inventaire cartographique des principaux couloirs d’échanges entre les unités de population de cerfs qui a été réalisé en 1996 et 2010, il a été dénombré pas moins de 1 410 couloirs de circulation (encore appelés « écoponts » ou « écoducs ») sur 76 départements. Les ongulés sauvages peuvent être responsables de dégâts sur certaines cultures (maïs, blé, colza, prairie, vigne). Le montant de l’indemnisation pour l’année 2016 concernant les dégradations imputées au seul cas du sanglier s’élèvent à 23 138 944€ au niveau national. 85% des dégâts déclarés proviennent du sanglier, 13% du cerf et 2% du chevreuil. Auparavant dévolue à l’ONCFS, les Fédérations départementales de chasse ont aujourd’hui en charge l’indemnisation des dégâts. Appelé initialement réseau « cervidés-sangliers » le réseau, issu d’une collaboration entre l’ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage), la FNC (Fédération Nationale des Chasseurs) et les FDC (Fédérations Départementales des Chasseurs) change de dénomination en 2005 afin d’intégrer les ongulés de montagne et devient le réseau "ongulés sauvages". Ce réseau permet depuis 2003 de centraliser les données collectées sur le terrain par un agent des services départementaux de l’ONCFS et de la Fédération départementale de chasse puis de traiter et d’analyser l’information recueillie. Au niveau national, cela représente près de 180 intervenants qui œuvrent au moissonnage de l’information. Cette collecte permet, entre autre, d’alimenter de nombreuses enquêtes nationales, de fournir des éléments précieux pour produire les tableaux de chasse (départementaux ou communaux) qui permettent in fine de suivre les tendances de populations d’ongulés et de sangliers ou encore de répondre à des problématiques d’actualité (mortalité extra-cynégétique, modalités de gestion des ongulés, dégâts forestiers, etc.). Les effectifs sont estimés par un nombre maximum et un minimum systématiquement vérifiés par un contrôle de cohérence entre les évolutions de populations et les résultats des tableaux de chasse.
Théma - Commissariat général au développement durable - Mars 2023
Rapport - Commissariat général au développement durable - Décembre 2022
Ce réseau tout d’abord appelé « cervidés-sanglier » a été constitué en 1985. Le réseau a changé de dénomination et de logo en 2005 afin que la problématique ongulés de montagne soit intégrée.
L’Office National de la Chasse et de la Faune sauvage (ONCFS) et la Fédération Nationale des Chasseurs ont travaillé conjointement sur l’édition de fiches techniques concernant la chasse dans les espaces naturels protégés en France.
Cette phrase qui pourrait paraître simple de prime abord est en fait le challenge qui va se poser pour chaque gestionnaire de territoire où une pression cynégétique est exercée.
Le daim et le cerf sika
Les ongulés de montagne
Une protection de certains ongulés par la réintroduction d’espèce et la préservation de leur territoire
Une pression accrue sur le milieu et les activités humaines devant des effectifs qui augmentent
Pression sur les habitats et impact sur la faune
Collisions (mortalité extra-cynégétique)
Dégradation des cultures
Un réseau « Ongulés Sauvages » fruit d’une collaboration entre l’ONCFS et les fédérations de chasse
Ressources
Les ongulés sauvages en France métropolitaine : fonctions écologiques, services écosystémiques et contraintes pour la société
Les ongulés sauvages de France métropolitaine - Fonctions écologiques, services écosystémiques et contraintes
Réseau ongulés sauvages ONCFS-FNC-FDC
Fiches techniques sur la chasse et les espaces protégés
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