Économie

Les déchets plastiques

Mis à jour le | Commissariat général au développement durable

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La production mondiale de plastique a atteint 370 millions de tonnes en 2019. Chaque année, 2 à 3 % de ce plastique est rejeté dans l’environnement marin avec pour conséquence des dommages environnementaux et économiques. Le public est sensible à l’impact environnemental des plastiques. Le sondage Eurobaromètre révèle que 74 % des citoyens européens (73 % des Français) sont préoccupés par l’impact sur leur santé des produits de la vie courante en plastique et 87 % (88 % pour les Français) de leur impact sur l’environnement. 33 % des Européens (29 % des Français) identifient la pollution marine comme faisant partie des questions environnementales les plus importantes. Sur les 29 millions de tonnes de déchets plastiques collectés en Europe, un tiers est recyclé contre 15 % au niveau mondial. Si la pollution des océans par les plastiques est connue, l’impact des microplastiques sur les sols a reçu beaucoup moins d’attention alors que leur concentration pourrait y être de 4 à 23 fois supérieure.

La production mondiale de plastique

La production et l’utilisation du plastique à grande échelle datent des années 1950. Grâce à leurs multiples usages, les plastiques sont devenus incontournables. Au niveau mondial, leur production est passée de 1,5 million de tonnes en 1950 à presque 370 millions de tonnes en 2019. Cette augmentation a été beaucoup plus rapide que celle de la population puisque la production représentait 0,6 kg/habitant en 1950 contre 47,7 kg/habitant aujourd’hui.

En 2019, la production mondiale de plastiques biosourcés est de 2,1 millions de tonnes, soit moins de 1 % de la production totale de plastique.

Évolution de la production mondiale de plastiques

Champ : Comprend les matières plastiques (thermoplastiques et polyuréthanes) et autres plastiques (thermodurcissables, adhésifs, revêtements et produits d'étanchéité). N'inclus pas les fibres suivantes: PET, PA, PP et polyacrylique. Production de matières premières vierges à base de pétrole (n'inclut pas les matières premières d'origine biologique ou recyclées).

Source : PlasticsEurope (PEMRG/Consultic)

En 2019, environ 4 % de la production pétrolière mondiale est utilisée pour fabriquer du plastique.

La demande européenne de plastique

En 2019, la demande européenne est d’environ 51 millions de tonnes de matières plastiques.

Quatre secteurs représentent les trois quarts de la demande totale européenne, avec à leur tête les emballages (40 %) dont la durée de vie est très limitée. En 2019, la demande française avoisine 5 millions de tonnes, soit 9,5 % de la demande européenne.

Répartition de la demande européenne en matières plastiques selon les secteurs en 2019

Source : PlasticsEurope (PEMRG/Consultic)

Traitement des déchets plastiques

Les déchets plastiques sont composés d’emballages et d’autres produits (jouets, sols, parties de produits électroniques ou de véhicules, fenêtres…).

Au niveau mondial, 15 % des déchets plastiques sont collectés pour être recyclés, 25 % sont incinérés et 60 % sont mis en décharge. En Europe, en 2018, 29 millions de tonnes de déchets plastiques ont été collectés, dont 61 % d’emballages. Depuis 2016, le taux de recyclage de l’ensemble des déchets plastiques dépasse le taux d’élimination (mise en décharge ou incinération sans récupération d’énergie).

Traitement des déchets et emballages plastiques en France et en Europe en 2018

Source : PlasticsEurope (PEMRG/Consultic)

Les emballages plastiques ont un taux de recyclage meilleur (42 %). Au niveau européen, ils varient entre 26 % (Finlande, France) et 52 % (république tchèque).
En France, 24 % des déchets plastiques et 26% des déchets d’emballages plastiques sont recyclés.

Un des obstacles au recyclage des plastiques est leur grande diversité : environ 50 % des emballages sont soit non recyclables, soit très difficilement recyclables.

Les déchets plastiques prennent le large

80 % des déchets retrouvés en mer seraient d’origine terrestre. Les 20 % restant proviennent des activités de pêche (cordages, filets, casiers...), des navires marchands et de croisière, des ferries, des bateaux de plaisance, des navires militaires, des plateformes de forage…

Les principales sources terrestres de déchets marins sont les déchets liés au tourisme, les déchets jetés dans la rue, les décharges illégales, les produits cosmétiques, les fibres de polyester et acryliques qui partent avec l’eau de lavage des vêtements, les poussières de dégradation de pneus qui rejoignent les eaux pluviales. Ces déchets arrivent en mer le plus souvent en empruntant le chemin des égouts ou des rivières. Des phénomènes naturels peuvent également être sources de déchets en mer, comme une tempête, un tsunami, une crue ou de l’érosion faisant apparaitre une ancienne décharge.

Une étude commandée par la Commission européenne, et dont les résultats sont parus en mai 2018, estime que les objets en matière plastique constituent entre 80 et 85 % des déchets marins. Les déchets marins non-plastiques, souvent inertes (pierre) ou biodégradables (papier, bois), constituent une menace moindre pour l’environnement que les déchets plastiques.

De nombreuses études s’attachent à évaluer les tonnages de déchets déversés en mer. Les chiffres avancés sont tous différents et les estimations très larges. En effet, les déchets ne flottent pas tous à la surface de l’eau, certains reposent sur les fonds océaniques et d’autres ont été ingérés par des organismes marins.
Il est estimé qu’entre 5 à 13 millions de tonnes de déchets plastiques entrent dans les océans par an (soit 1 % à 4 % de la production mondiale). Depuis 1980, plus de 150 millions de tonnes y auraient été accumulés.

Impact supposé sur le comportement des acteurs territoriaux en 2020

L’étude de la Commission européenne montre que la moitié des déchets retrouvés sur les plages européennes (et donc potentiellement en mer), sont des plastiques à usage unique. Le tableau suivant indique le nombre d’échantillons retrouvés de chaque article, pour les 10 premiers :

Une étude américaine aboutit sensiblement à la même liste d’objets (à l’exception des cotons-tiges qui sont en carton sur le marché américain).

Les déchets déversés dans la mer entament une longue dérive. Sous l’effet de la rotation de la terre, les courants marins créent des gyres océaniques. Ces énormes tourbillons tournent dans le sens des aiguilles d’une montre dans l’hémisphère nord et en sens inverse dans l’hémisphère sud. Tôt ou tard, les déchets plastiques se retrouvent piégés dans ces gyres. Le gyre du pacifique nord fait la taille d’un tiers des États-Unis. Quant à celui de l’Atlantique nord, il s’étend sur une superficie de 2 ou 3 fois la France.

Des macrodéchets aux microdéchets

Selon leur taille, les déchets n’ont pas les mêmes conséquences sur l’environnement. Les microdéchets sont de minuscules particules, parfois invisibles à l’œil nu. Ils sont définis comme ayant une taille inférieure à 5 mm (contrairement aux macrodéchets).
Les microplastiques primaires entrent directement sous la forme de microplastiques. Certains sont issus de l’usure lors de l’utilisation (poussière de pneus, fibres issus du lavage des textiles synthétiques...). D’autres sont intentionnellement ajoutés aux produits (agents de lavage dans des détergents, microbilles exfoliantes dans des cosmétiques…).

Les microplastiques secondaires entrent dans le milieu marin comme macroplastiques et se dégradent lentement en petits fragments sous l’effet des courants, des UV, de la température, de la dégradation bactérienne et de l’agitation mécanique.

Selon une étude de l’Union internationale pour la conservation de la nature, entre 15 et 31 % des plastiques dans les océans pourraient provenir de sources primaires. La contribution la plus importante étant la dégradation des textiles lors des lessives et la seconde due à l’érosion des pneus pendant la conduite. La troisième origine serait due aux poussières urbaines (abrasion d’objets ou d’infrastructures, sablage, détergents…).

Dans le textile, par exemple, les pertes sont de l’ordre de 0,5 g par kilo de textile lavé, tandis que l’usure des pneus se situe à environ 1 g de caoutchouc pour 10 km de conduite.

D’où viennent les microplastiques ?

Source : UICN, 2017

Les conséquences de la pollution marine par les plastiques

Les conséquences sont des dommages à la fois économiques, sociaux et environnementaux. La « soupe de plastique » qui se forme à la surface des océans met en danger les écosystèmes, la biodiversité et potentiellement la santé humaine, notamment par des matières plastiques dans la chaîne alimentaire. Les impacts socio-économiques comprennent les coûts de nettoyage, des dommages au tourisme, au transport maritime, à la pêche et à l’aquaculture, ainsi que la perte de ressources qui pourraient être réinjectées dans l’économie.

Les impacts sur l’environnement

Ils peuvent être structurés en fonction de la taille des déchets :

  • Pour les macroplastiques, les principales conséquences sont les suivantes :
    • étranglement des mammifères marins et oiseaux dans les filets ;
    • pêche fantôme ;
    • ingestion mortelle de déchets plastiques par des oiseaux, poissons ou tortues ;
    • altération de l’équilibre des écosystèmes à cause du transport d’espèces invasives sur de longues distances ;
    • risques pour la navigation (accidents, blocage des hélices…) ;
    • pollution des fonds marins.
  • Pour les microplastiques, la première conséquence est l’ingestion. En effet, la petite taille des microplastiques leur permet d’interagir avec un éventail particulièrement large d’organismes marins. Ils peuvent être ingérés par filtration par les cétacés, les mollusques, le plancton ou les poissons et ainsi entrer dans la chaine alimentaire. Le problème est que le plastique est non inerte, iI contient des additifs chimiques qui peuvent être des perturbateurs endocriniens, cancérigènes ou provoquer des réactions toxiques. Les principaux effets à craindre sur les espèces marines sont des problèmes de croissance ou de fertilité et la mortalité. La recherche suggère que les européens consomment actuellement jusqu’à 11 000 morceaux de plastique dans leur nourriture chaque année en raison de la consommation de produits de la mer . Toutefois, les conséquences sur notre santé sont encore mal connues. Les plastiques une fois ingérés sont-ils encapsulés par les tissus et oubliés par le corps, causent-ils de l’inflammation, libèrent-ils des produits chimiques ? Les études relatives à l’effet des microplastiques et des additifs qu’ils renferment sur la santé humaine ne sont pas suffisamment avancées pour donner des résultats.
  • Au niveau mondial, au moins 700 espèces marines sont touchées, dont 17 % sont menacées ou en danger critique d’extinction selon l’Union Internationale pour la conservation de la nature.

Les impacts financiers

Le programme des nations unies pour l’environnement (PNUE) estime le coût annuel en capital naturel des déchets plastiques présents dans les écosystèmes marins à 13 milliards de dollars (pertes économiques subies par les pêches, l’aquaculture et le tourisme, le nettoyage des plages...).

La Commission européenne évalue quant à elle le coût à 470 millions d’euros pour l’Europe.

L’entretien des plages coûte cher aux collectivités. C’est en général une action à l’année sans interruption, la fréquence des actions (nettoyage manuel, tamisage) se renforçant sur la période estivale. À titre d’illustration, les dépenses avoisinaient les 6 millions d’euros pour les départements de la Gironde, des Landes et des Pyrénées-Atlantiques en 2008.

Les actions mises en œuvre

Le problème des déchets marins est transfrontalier par nature. La convention MARPOL (pour MARine POLlution), entrée en vigueur le 31 décembre 1988, traite de la pollution par les navires et interdit dans son annexe V le rejet à la mer des matières plastiques sous quelque forme que ce soit.

Cependant, le PNUE qui évalue l’efficacité des approches internationales pour lutter contre les déchets plastiques en mer, souligne que les dispositifs en la matière sont à construire et à renforcer, car il n’existe à ce jour aucune institution mondiale dédiée. Des actions sont néanmoins conduites à l’échelle internationale.

Au niveau européen
La directive (UE) 2015/720 du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2015 donne l’obligation aux États membres de réduire significativement la consommation de sacs en plastique légers (épaisseur < 50 microns). Celle-ci devra passer à 90 sacs par personne au 31 décembre 2019 et 40 sacs par personne au 31 décembre 2025 (contre presque 200 en moyenne en 2010).

Aujourd’hui, parmi les 10 premiers objets à usage unique les plus retrouvés sur les plages, seuls les sacs en plastique font l’objet d’une réglementation.

Toutefois, le 16 janvier 2018, la commission européenne a adopté sa première stratégie sur les plastiques qui s’inscrit dans le cadre de la transition vers une économie plus circulaire. Elle vise 100% d’emballages réutilisables et recyclables et plus de 50% de déchets plastiques recyclés en 2030. La consommation de plastiques à usage unique sera réduite, et l’utilisation intentionnelle de microplastiques sera limitée.

Le 5 juin 2019, la Commission européenne a adopté la directive (UE) 2019/904, qui interdit la mise sur le marché de plusieurs produits en plastique à usage unique :

  • Les pailles, les couverts et assiettes, les touillettes à café, les tiges pour ballons ou encore les bâtonnets de coton-tige… Tous ces produits plastiques seront bannis de l’UE à compter du 3 juillet 2021. Les plastiques oxo-dégradables, récipients pour aliments et gobelets en polystyrène expansé seront aussi interdits à cette date ;
  • Un objectif de collecte de 90 % des bouteilles en plastique d’ici 2029 est fixé. Les bouteilles commercialisées dans l’UE devront contenir au moins 25 % de plastique recyclé en 2025 et au moins 30 % en 2030 ;
  • La responsabilité élargie du producteur est par ailleurs étendue aux filets de pêche et aux récipients de la restauration rapide ;
  • Les entreprises du secteur du tabac devront financer le ramassage et le nettoyage des mégots de cigarettes jetés dans la rue.

Dans le cadre de la cinquième édition de la conférence "Our océan" qui s’est tenue à Bali les 29 et 30 octobre 2018, l’Union européenne a annoncé prendre 23 nouveaux engagements en faveur de l’océan dont différentes initiatives pour réduire la pollution plastique. Au niveau financier, 9 millions d’euros seront consacrés à la réduction des déchets plastiques et marins en Asie du Sud-Est, 7 millions d’euros pour aider les pays du Pacifique dans leur effort pour réduire les déchets marins et conserver leur biodiversité. 100 millions d’euros seront fléchés vers des projets de recherche et développement (R & D) dans le cadre du programme Horizon 2020 pour le développement de matières plastiques plus intelligentes et plus recyclables, améliorer les chaînes de recyclage mais également en traçant ou en éliminant les substances dangereuses provenant de plastiques recyclés.

En France
Depuis plusieurs années, la France a pris des mesures pour réduire l’utilisation de produits à usage unique ayant un impact sur le milieu marin, à travers différentes lois :

  • La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte du 17 août 2015 a interdit les sacs plastiques à usage unique de caisse dans les supermarchés dès le 1er juillet 2016, hors caisse dès le 1er janvier 2017 et les gobelets, verres et assiettes jetables (sauf compostables en compostage domestique et bio-sourcés) à compter du 1er janvier 2020 ;
  • La loi « 2016-1087 » du 8 août 2016 a prévu l’interdiction des cotons-tiges dont la tige est en plastique à compter du 1er janvier 2020 et des microbilles plastiques dans les produits cosmétiques rincés à horizon du 1er janvier 2018 ;
  • Dans le cadre de la loi Alimentation, a été adoptée l’interdiction de 7 nouveaux produits jetables en plastique en 2020, après les pailles et les bâtonnets mélangeurs. Ce sont maintenant les couverts, piques à steak, couvercles à verre jetables, plateaux-repas, pots à glace, saladiers et boites qui sont interdits ;
  • La loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire du 10 février 2020, prévoit la fin de la mise sur le marché d’emballages en plastique à usage unique d’ici à 2040. Elle indique également, qu’à partir du 1er janvier 2021, les produits du tabac équipés de filtres composés en tout ou partie de plastique, et qu’à partir du 1er janvier 2025, les engins de pêche contenant du plastique, relèvent du principe de responsabilité élargie du producteur (REP). Elle pose aussi un objectif de 100% de plastique recyclé d’ici 2025.

Dans le plan biodiversité, présenté le 4 juillet 2018, la France vise zéro plastique rejeté dans l’océan d’ici à 2025. Cet objectif qui rejoint ceux du Comité interministériel de la mer (CIMER) est décliné en 35 actions dans le Plan d’actions zéro plastique en mer (2020 – 2025).

Plusieurs actions de lutte sont également conduites en France.

Toutefois, pendant que les États légifèrent, chacun peut jouer un rôle dans la réduction de la pollution marine :

  • les industriels en s’engageant à accroitre l’intégration de matières recyclées dans leurs produits et en se préoccupant de leur recyclage dès la fabrication (éco-conception) ;
  • Les scientifiques en orientant leurs recherches sur du plastique biodégradable dans l’eau de mer ou sur des bactéries capables de s’attaquer aux matières plastiques ou sur une amélioration des procédures de recyclage ou toute autre solution ;
  • Les utilisateurs en ayant une démarche citoyenne : ne rien jeter dans la nature et sur la voie publique, et trier ;
  • Les associations, avec des opérations comme « Je navigue, je trie », « Rien par-dessus bord, tous mes déchets au port ! », parrainée par la navigatrice Catherine Chabaud, en 2013.


Bibliographie
Eurobaromètre spécial 468 (CE, 2017) 27,881 citoyens de l’UE de 28 États membres ont été interrogés entre le 23 Septembre et le 2 Octobre 2017. https://data.europa.eu/euodp/fr/data/dataset/S2156_88_1_468_ENG

De Souza Machado AA, Kloas W, Zarfl C, Hempel S, Rillig MC. Microplastics as an emerging threat to terrestrial ecosystems. Glob Change Biol. 2018 ;24:1405–1416. https://doi.org/10.1111/gcb.14020

OECD (2018), Improving Markets for Recycled Plastics : Trends, Prospects and Policy Responses, OECD Publishing, Paris.
http://dx.doi.org/10.1787/9789264301016-en

European Commission (28.05.2018), Commission staff working document, impact assessment, Reducting Marine Litter : action on single use plastics and fishing gear.
http://ec.europa.eu/environment/circular-economy/pdf/single-use_plastics_impact_assessment.pdf

PNUE (2014) : Evaluation du plastique « pourquoi mesurer, gérer et rendre publique l’utilisation du plastique par l’industrie des biens de consommation.
http://wedocs.unep.org/handle/20.500.11822/9238

Plasticseurope, plastics – the Facts 2019
https://www.plasticseurope.org/en/resources/publications/1804-plastics-facts-2019

OECD (2018), Improving Markets for Recycled Plastics : Trends, Prospects and Policy Responses, OECD Publishing, Paris.
http://dx.doi.org/10.1787/9789264301016-en

Une mer propre mission impossible, 70 clés pour comprendre les déchets en mer, éditions Quae (2013)
IUCN (2017) Primary microplastics in the oceans : : a global evaluation of sources
https://portals.iucn.org/library/node/46622

Ellen MacArthur Foundation, Pour une nouvelle économie des plastiques (2017)
https://www.ellenmacarthurfoundation.org/fr/publications-1

Lisbeth Van Cauwenberghe, Colin R. Janssen, Microplastics in bivalves cultured for human consumption (juin 2014)

PNUE (2014) : Evaluation du plastique « pourquoi mesurer, gérer et rendre publique l’utilisation du plastique par l’industrie des biens de consommation

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