Biodiversité

Population des oiseaux d’eau hivernants sur le littoral sur la période 2013-2016

Mis à jour le | Commissariat général au développement durable

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Avec sa position privilégiée sur l’axe de migration Est-Atlantique, la France accueille la 3ème population d’oiseaux d’eau hivernants en Europe. Le littoral, avec près de 1,4 million d’oiseaux en moyenne tous les hivers entre 2013 et 2016, représente selon les groupes, de 16 % à 76 % des oiseaux hivernants dénombrés sur le territoire métropolitain.

Panorama général

Avec sa position privilégiée sur l’axe de migration Est-Atlantique, la France accueille la 3ème population d’oiseaux d’eau hivernants en Europe. Le littoral, avec près de 1,4 millions d’oiseaux en moyenne tous les hivers entre 2013 et 2016, représente selon les groupes, de 16 % à 76 % des oiseaux hivernants dénombrés sur le territoire métropolitain.

Les groupes d’oiseaux hivernants les plus nombreux sur le littoral sont les limicoles, les anatidés et foulques, et les laridés. Avec 670 000 oiseaux en moyenne sur la période étudiée, le littoral concentre 76 % des limicoles hivernants en métropole.

Les plus fortes concentrations d’oiseaux se situent en Centre-Atlantique et sur le littoral des Bouches-du- Rhône. Dans le détail, les principaux sites d’hivernage littoraux sont la Camargue, la baie de l’Aiguillon et la pointe d’Arçay, la Réserve Naturelle de Moëze, la baie du Mont-Saint-Michel et le bassin d’Arcachon.

Suivant les groupes, la répartition des oiseaux est différente. Les limicoles sont plutôt situés dans les grandes baies et les golfes de la côte atlantique. Les anatidés sont plus nombreux sur le littoral méditerranéen.

Parmi les espèces suivies, les côtes métropolitaines abritent plus de 10 % des populations biogéographiques de bernache cravant, avocette élégante, bécasseau variable, bécasseau sanderling, grand gravelot, tournepierre à collier, tadorne de Belon, pluvier argenté et bécasseau maubèche (ordre décroissant de la part du littoral métropolitain).

13 des 15 espèces de limicoles suivies ont vu leur population augmenter depuis 1980. Le constat est plus contrasté pour les anatidés. Dix espèces sont en augmentation alors que sept sont en déclin comme le fuligule morillon et le canard siffleur.

Nombre moyen d’oiseaux d’eau hivernants par groupe et par façade maritime, moyenne annuelle entre 2013 et 2016
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Figure 2823

Source : LPO (ligue pour la Protection des Oiseaux).

Traitement : LPO ; CGDD/SDES

Analyse générale

La France a une position centrale sur l’axe de migration Est- Atlantique entre la Sibérie, l’Europe, et l’Afrique de l’Ouest. Elle abrite la 3ème population d’oiseaux d’eau hivernant en Europe après celles des Pays-Bas et du Royaume-Uni. Sur la période 2013-2016, on a compté, en moyenne, 1,4 million d’oiseaux d’eau en janvier au sein des périmètres littoraux suivis dans le cadre du programme « Wetlands International » (ONG internationale basée aux Pays-Bas). Cela représente plus d’un hivernant en métropole sur deux (50,5 %). C’est proche de la moyenne annuelle entre 2000 et 2005 et plus faible que sur la période 2007-2012. Le littoral et ses nombreuses zones humides - marais, vasières, prés salés, lagunes et étangs - jouent donc un rôle majeur pour l’hivernage des oiseaux d’eau.

Les groupes d’oiseaux d’eau les plus nombreux à hiverner sur le littoral sont les limicoles, les anatidés et foulques, et les laridés. Pour les laridés, les comptages réalisés dans le cadre du programme Wetlands sont incomplets. Un inventaire dédié à ce groupe réalisé l’hiver 2011-2012 indique des effectifs proches de 818 500 individus, ce qui en ferait le groupe d’oiseaux hivernant le plus important sur ce territoire.

Plus de 670 000 limicoles sont dénombrés, en moyenne, chaque année sur le littoral sur la période 2013-2016, soit les trois quarts de la population métropolitaine. Certains limicoles sont totalement inféodés au littoral comme la barge à queue noire, le pluvier argenté ou le bécasseau sanderling. Cette proportion est de 42 % pour les anatidés et les foulques, 37 % pour les plongeons et les grèbes, 35 % pour les laridés, 21 % pour les échassiers et 16 % pour les rallidés qui affectionnent particulièrement les étangs d’eau douce et les rivières de plaine.

Oiseaux d’eau hivernants par groupe, moyenne annuelle pour les périodes 2007-2012 et 2013-2016
Oiseaux d’eau hivernants par groupe, moyenne annuelle pour les périodes 2007-2012 et 2013-2016
Oiseaux d’eau hivernants par groupe, moyenne annuelle pour les périodes 2007-2012 et 2013-2016

Champ : LPO (ligue pour la Protection des Oiseaux).

Source : LPO ; CGDD/SDES.

Répartition spatiale des populations d’oiseaux d’eau hivernants sur le littoral

Les oiseaux d’eau ne se répartissent pas de manière homogène sur les côtes françaises. Le climat, les surfaces et la diversité des zones humides dont l’estran, la présence de zones de quiétude et le niveau d’artificialisation des rivages ont un impact sur leur répartition.

Les plus fortes concentrations se situent dans les Bouches-du-Rhône et en Centre-Atlantique (Vendée et Charente-Maritime). Chacune de ces façades littorales départementales comprend chaque année plus de 150 000 oiseaux, en moyenne. Les effectifs sont également importants en Gironde et du département de la Manche à la Loire-Atlantique.

Les populations sont plus faibles sur les autres façades littorales. C’est notamment le cas des côtes d’Occitanie, où les populations d’oiseaux hivernants semblent avoir récemment diminué, surtout en raison de la chute des populations de rallidés et de laridés (la fermeture d’un certain nombre de décharges à ciel ouvert a provoqué une baisse des populations et notamment du Goéland leucophé). Les population d’oiseaux d’eau sont également faibles dans les départements où les zones humides sont peu nombreuses : Seine-Maritime, Calvados, Pyrénées-Atlantique, Var et Alpes-Maritimes.

Répartition par façade littorale départementale des oiseau
Répartition par façade littorale départementale des oiseaux d’eau hivernants, moyenne 2013 - 2016
Répartition par façade littorale départementale des oiseaux d’eau hivernants, moyenne 2013 - 2016

Source : LPO (ligue pour la Protection des Oiseaux).

Traitement : LPO ; CGDD/SDES.

Les limicoles sont principalement inféodés aux vasières intertidales où ils se nourrissent. Ils se concentrent sur la Manche - mer du Nord et l’arc atlantique. Dépourvue de réel espace intertidal, la façade méditerranéenne, avec ses nombreux plans d’eau et lagunes, est plus propice pour l’hivernage des populations d’anatidés et d’échassiers.

Dans le détail, sept des dix premiers sites métropolitains d’hivernage des oiseaux d’eau sont situés sur le littoral (moyenne annuelle entre 2013 et 2016) :

  • Camargue, 126 100 oiseaux (*) ;
  • Baie de l’Aiguillon et Pointe d’Arçay, 110 700 (**) ;
  • Réserve Naturelle de Moëze, 83 500 (*) ;
  • Baie du Mont-Saint-Michel, 79 800 (*) ;
  • Lac de Grand-Lieu, 71 100 ;
  • Lac du Der - Chantecoq, 69 800 ;
  • Bassin d’Arcachon, 60 700 (*) ;
  • Golfe du Morbihan, 55 200 (*) ;
  • Lacs Orient, Amance et Temple-Auzon, 53 800 ;
  • Presqu’île guérandaise, dont traicts du Croisic, 52 700 (*).

*Diminution de l’effectif entre 2007-2012 et 2013-2016
**Augmentation de l’effectif entre 2007-2012 et 2013-2016

Détail de la répartition des principaux groupes d’oiseaux sur le littoral

Anatidés et foulques

Les anatidés et foulques sont présents sur la majorité des côtes métropolitaines. Les populations les plus importantes sont situées en Camargue (110 000 individus, soit un cinquième du total littoral), et en Atlantique, du Morbihan à la Gironde. On les retrouve sur des côtes abritées comme les grandes baies et dans des régions de marais et d’étangs.

Répartition des anatidés et foulques, limicoles et échassiers sur la période 2013 – 2016
Répartition des anatidés et foulques, limicoles et échassiers sur la période 2013 – 2016
Répartition des anatidés et foulques, limicoles et échassiers sur la période 2013 – 2016

Source : LPO (ligue pour la Protection des Oiseaux).

Traitement : LPO ; CGDD/SDES.

Les cinq principaux sites littoraux d’hivernage sont :

  • La Camargue : avec sa mosaïque d’étangs, de salins, de vasières et de roselières, cette vaste zone humide permet l’hivernage de très nombreux anatidés. Les principales populations sont le canard colvert, la sarcelle d’hiver, le chipeau, le siffleur et le souchet. La Camargue comprend, par ailleurs, une part importante des cygnes de Bewick, des fuligules milouin, des nettes rousses et des oies cendrées hivernant sur le littoral ;
  • La baie de l’Aiguillon et la pointe d’Arçay abritent des populations importantes de tadornes de Belon, canards colvert, bernaches cravant, sarcelles d’hiver et canards siffleurs. Environ 30 % des oies cendrés et des canards pilets hivernant sur le littoral métropolitain y sont dénombrés ;
  • La réserve naturelle de Moëze : les principaux anatidés y hivernant sont la bernache cravant, le canard colvert, le tadorne de Belon, la sarcelle d’hiver et le canard souchet. On y compte plus de 10 % des canards souchet et des bernaches cravant hivernant sur le littoral métropolitain ;
  • Le golfe du Morbihan abrite des population importantes de bernaches cravant, tadornes de Belon, foulques macroule, canards colvert et sarcelles d’hiver. On y compte 65 % des garrots à oeil d’or hivernant sur le littoral (moins de 50) et 39 % des harles huppés, près de 1 000.

Limicoles

Généralement grégaires et sociables, les limicoles sont principalement situés sur le littoral de l’Atlantique et de la Manche. Se nourrissant surtout sur l’estran et dans les zones de vasières, les principales populations sont localisées dans des zones abritées et peu profondes comme les baies, les golfes et les estuaires.

Les principaux sites d’hivernage sont :

  • La réserve naturelle nationale de la baie de l’Aiguillon et la pointe d’Arçay (71 400 limicoles en moyenne) : les principaux limicoles y sont le bécasseau variable, l’avocette élégante, la barge à queue noire, le bécasseau maubèche et le pluvier argenté. La réserve abrite une part importante des populations hivernant sur le littoral pour l’avocette élégante mais aussi pour les barges et le bécasseau maubèche ;
  • La baie du Mont Saint-Michel : 58 500 limicoles y hivernent en moyenne sur la période 2013–2016. C’est un site d’hivernage important pour le bécasseau maubèche, le courlis cendré, l’huîtrier pie et le pluvier argenté ;
  • La réserve naturelle nationale de Moëze : sur ce territoire protégé, hivernent, en moyenne, 54 600 limicoles. On y trouve d’importants stationnements de bécasseaux variables et maubèche, de barges à queue noire et de pluviers dorés ;
  • Le bassin d’Arcachon (39 200 limicoles) : le bécasseau variable représente l’essentiel du contingent de limicoles sur le bassin. Viennent ensuite des espèces comme le tournepierre à collier, le courlis cendré et le pluvier argenté.

Échassiers

Les populations d’échassiers sont assez faibles sur les côtes de la Manche et de la mer du Nord, où les milieux naturels présents sont peu propices à leur présence. Elles sont plus importantes en Atlantique et en Méditerranée. Les deux sites majeurs sont dans les terres : le site d’Arjuzanx, dans les Landes, et le lac du Der, en Champagne-Ardennes, abritant des populations importantes de grues cendrées.

Les principaux sites littoraux sont :

  • L’étang de Carcans-Hourtin et la réserve naturelle nationale de l’étang de Cousseau : on y note une population assez importante de grues cendrées, en quantité tout de même bien moindre que dans les sites d’Arjuzanx et du lac du Der ;
  • La presqu’île guérandaise (y compris les traicts du Croisic) : ce site héberge d’importantes colonies d’aigrettes garzette, de hérons garde-boeufs, de hérons cendrés et de spatules blanches en nette expansion ces dernières années ;
  • La Camargue avec principalement des aigrettes garzette, des ibis falcinelle, des grues et des hérons cendrés.

Ainsi, le littoral français a un rôle majeur pour l’hivernage de nombreuses espèces d’anatidés mais surtout de limicoles pour lesquels l’accessibilité aux estrans meubles et la quiétude des zones de reposoir à marée haute sont essentielles. D’après les estimations des populations biogéographiques fournies par Wetlands International (2012), les côtes métropolitaines abritent plus de 10 % des populations des espèces suivantes (dans l’ordre décroissant d’importance) : la bernache cravant, l’avocette élégante, le bécasseau variable, le bécasseau sanderling, le grand gravelot, le tournepierre à collier, le tadorne de Belon, le pluvier argenté et le bécasseau maubèche.

Évolution des populations d’oiseaux d’eau hivernants en France par grands groupes

Les évolutions sont variables suivant les espèces et les groupes d’espèces mais une tendance positive générale est observée depuis les années 1980. En France, de nombreuses mesures de conservation et de gestion ont contribué depuis une quarantaine d’années à augmenter la qualité de l’habitat pour les oiseaux d’eau, comme la création de réserves naturelles sur les principaux sites d’hivernage littoraux. Une plus grande tranquillité des sites d’hivernage et une meilleure accessibilité de la ressource alimentaire ont profité à la grande majorité des populations dont le statut de conservation était défavorable.

Évolution des populations d’oiseaux d’eau hivernant en France sur la période 1980 – 2016

Parmi les anatidés et foulques, dix espèces sont en augmentation significative comme la bernache cravant, l’oie cendrée ou les canards souchet et chipeau, sept sont en déclin (comme les fuligules morillon et milouinan ou le canard siffleur), quatre sont stables (canard pilet, fuligule milouin) et neuf sont con¬sidérées comme n’ayant pas de tendance clairement définie comme le cygne chanteur ou l’oie rieuse.

Toutes les populations de limicoles ont augmenté depuis 1980, exceptée celles du combattant varié et de l’huîtrier pie restant stables. Elles bénéficient du faible dérangement et de la protection des grandes zones humides littorales avec plus de deux-tiers des effectifs recensés en espaces protégés (pluvier argenté, bécasseau variable, barge à queue noire, chevalier gambette). Cette progression est d’autant plus importante que, la France héberge une part importante des populations biogéographiques de certaines espèces comme indiqué précédemment.

En savoir plus : Les périmètres de suivi des oiseaux d’eau hivernants

Le recensement des oiseaux d’eau hivernants est réalisé tous les ans depuis plus de quarante ans. Les comptages sont réalisés à la mi-janvier, au coeur de l’hiver lorsque les populations hivernantes effectuent le moins de déplacements (hors vagues de froid). Ces comptages coordonnés au niveau national par la Ligue pour la Protection des Oiseaux s’inscrivent dans le cadre d’un programme international de suivi, sous l’égide de Wetlands International. En France, environ 1 500 sites représentés sur la carte ci-dessous sont suivis. Ces derniers sont re¬groupés dans près de 400 sites fonctionnels, ensembles de sites cohérents comme un tronçon de cours d’eau, un marais, un groupe d’étangs ou un réseau de lagunes.

Sites littoraux pris en compte dans l’étude portant sur la population des oiseaux d’eau hivernants sur le littoral sur la période 2013-2016
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Figure 2822

Source : LPO (ligue pour la Protection des Oiseaux).

Traitement : LPO ; CGDD/SDES.

Pour cette étude qui porte exclusivement sur le littoral, une sélection a été effectuée sur ces sites fonctionnels. Seuls 90 d’entre eux situés à moins de 10 kilomètres de la côte ont été pris en compte

Méthodologie

L’évaluation des oiseaux d’eau passant l’hiver sur le littoral métropolitain est effectuée tous les ans sur un ensemble de sites prédéterminés dans le cadre du programme Wetlands International, piloté en France par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) pour le compte du ministère en charge de l’Écologie. Les oiseaux sont comptés suivant des méthodes standards et reconnues (voir annexe). Parmi tous les oiseaux suivis, 7 grands groupes, rassemblent près de 99 % des individus dénombrés :

  • Anatidés et foulques : bernaches, canards, cygnes, oies… ;
  • Limicoles : chevaliers, barges, bécasseaux, courlis, gravelots… ;
  • Laridés : goélands, guifettes, mouettes et sternes ;
  • Échassiers : aigrettes, cigognes, flamant rose, grue cendrée et hérons ;
  • Plongeons et grèbes : Grèbe huppé, Grèbe castagneux, Plongeon arctique, Plongeon catmarin… ;
  • Cormorans : Grand cormoran et Cormoran huppé ;
  • Rallidés : Gallinule poule-d’eau, marouettes et Râle d’eau.

Parmi les espèces suivies, une quinzaine sont listées à l’annexe 1 de la directive européenne Oiseaux (Aigrette garzette, Flamant rose, Cigogne blanche…). Pour ces espèces plus particulièrement menacées à l’échelle européenne, les états membres doivent créer des zones de protection spéciale (ZPS), afin d’y définir des mesures de protection et de gestion de leurs habitats en période de reproduction. Les ZPS ont également été désignées sur les zones humides majeures afin de préserver les populations de l’ensemble des oiseaux d’eau migrateurs (art 4.2). L’analyse de l’évolution des populations hivernantes peut s’avérer complexe à interpréter en raison de la forte mobilité des oiseaux à l’intérieur de leur aire globale d’hivernage. Ainsi, lors d’hivers rigoureux, des redistributions intra-européennes sont notables avec des arrivées d’oiseaux en provenance des aires d’hivernage nordiques. La survie des adultes et leur productivité sur des aires de reproduction parfois lointaines (Canada arctique, Sibérie…) influencent aussi les dynamiques observées sur le littoral métropolitain.

Les associations et organismes participant aux dénombrements sont les suivants (2013) : A.A. Marais du Vigueirat ; A.A. Réserve de Séné ; ADENA Bagnas ; A.L.E.P.E. ; Association de Rosquerno ; Association Hirondelle ; A.N.V.L. ; A.O.M. Saône-et-Loire. ; A.R.O. Midi-Pyrénées. ; Ass. Naturaliste Ariégeoise ; Aude Nature ; Bretagne Vivante Concarneau-Trégunc ; Bretagne Vivante Douarnenez ; Bretagne Vivante Ille-et- Vilaine ; Bretagne Vivante Pays de Vannes ; Bretagne Vivante Quimper-Pont l’Abbé ; Bretagne Vivante réseau des Réserves ; C.C. Pays d’Iroise ; C.E.N. Corse ; C.E.N. de Provence ; C.G. Gironde ; C.G. Haute-Corse ; C.G. Morbihan ; C.O.R.A. Ain ; C.O.R. Ile-de-France ; C.E.N. Poitou-Charentes ; Centre Ornithologique Lorrain ; Charente Nature ; Club Ornithologique gersois ; Comité local 65 ; CEN Languedoc-Roussillon ; Conservatoire du Littoral ; Eure-et-Loir Nature ; F.D.C. 09 ; F.D.C. 13 ; F.D.C. 33 ; F.D.C. 56 ; F.D.C. 85 ; G.E.O. Côtes d’Armor ; G.O. Breton (Finistère) ; G.O. Breton (Morbihan) ; G.O. des Deux-Sèvres ; G.O. Du Roussillon ; G.O. et Naturaliste du Nord-Pas-de-Calais ; G.O. Normand ; Groupe Sarthois Ornithologique ; Indre Nature ; LE RENARD ; Les Naturalistes de l’Hérault ; Loiret Nature Environnement ; LPO Alsace ; LPO Anjou ; LPO Aquitaine ; LPO Ardèche ; LPO Aude ; LPO Audomarois ; LPO Auvergne ; LPO Brenne ; LPO Champagne- Ardenne ; LPO Charente-Maritime ; LPO Cher ; LPO Côte-d’Or ; LPO Drôme ; LPO Franche-Comté ; LPO Haute-Normandie ; LPO Haute-Savoie ; LPO Hérault ; LPO Ille-et-Vilaine ; LPO Isère ; LPO Loire ; LPO Loire-Atlantique ; LPO Marais Breton ; LPO PACA ; LPO Réseau Réserves ; LPO Rhône ; LPO Savoie ; LPO Tarn ; LPO Touraine ; LPO Vendée ; LPO Vienne ; LPO Yonne ; LPO BirdLife France ; Maison de l’Estuaire ; Mayenne Nature Environnement ; Muséum Toulon ; Natur-Essonne ; Naturalistes 34 ; Nature 18 ; Nature Midi-Pyrénées ; ONCFS - CNERA Avifaune migratrice ; ONCFS/SD 13 ; ONCFS/SD 22 ; ONCFS/SD 29 ; ONCFS/SD 33 ; ONCFS/SD 44 ; ONCFS/SD 56 ; ONCFS/RNCFS golfe du Morbihan ; ONCFS/Station de Chanteloup ; ONCFS/Réseau Oiseaux d’Eau/F.D.C. ; OBIOS ; Parc du Marquenterre ; P.N.R. Boucles Seine Normande ; P.N.R. Landes de Gascogne ; P.N.R. Narbonnaise en Méditerranée ; P.N. Marin d’Iroise ; Picardie Nature ; P.O. du Teich ; R.N.N. du Banc d’Arguin ; R.N.N. de la Baie de St Brieuc ; R.N.N. de la Baie de l’Aiguillon 17 ; R.N.N. de la Baie de l’Aiguillon 85 ; R.N.N.de Baie de Somme ; R.N.N. de Chérine ; R.N.N. des Marais de Séné ; R.N.N. de Beauguillot ; R.N.N. de Bagnas ; R.N.N. de Biguglia ; R.N.N. de Bruges ; R.N.N. des 7 Iles ; R.N.N. de Müllembourg ; R.N.N. des Ramières ; R.N.N. du Cousseau ; R.N.N. du Marais d’Orx ; R.N.N. du Val d’Allier ; R.N.N. de l’Estuaire de la Seine ; R.N.N.de la Mer d’ Iroise ; R.N.N. de Lilleau des Niges ; R.N.N. de Moëze ; R.N.N. de St- Denis-du-Payré ; R.N.N. des Marais d’Yves ; Réseau ornitho 65 ; S.E.P.A.N.S.O. ; S.E.P.O. Limousin ; SIAGM/projet PNR Golfe du Morbihan ; SYMEL ; S.N.P.N./R.N. de Grandlieu ; S.N.P.N./R.N. de Camargue ; S.O.B.A./Nature Nièvre ; Soc. Sci. Nat. Tarn-et-Garonne ; Sologne Nature Environnement ; Station Biologique de la Tour-du-Valat.

Source : Ligue pour la protection des Oiseaux (LPO)
Auteur : Service des données et études statistiques (SDES) et LPO
Date de rédaction : novembre 2017, mise à jour

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