Actualités
Partager la page
A la une
Comment a évolué la précarité énergétique en 2022 ?
En 2022, 10,8 % des ménages étaient en situation de précarité énergétique (3,2 millions au total), soit une baisse de 0,9 point par rapport à 2021.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/3b/5b6424e6c5f105c6babd2317113d94.png?1763044389)
Difficile de recruter dans les métiers de l’économie verte ?
En 2022, les métiers de l’économie verte représentent 18 % des intentions d’embauche, mais ⅔ des offres d’emploi restent difficiles à pourvoir en 2022.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/80/3acda1335bc97f79c0c49c25c8e717.png?1763045493)
Combien de gaz à effet de serre émettons-nous pour aller au travail ?
En 2019, un actif se déplaçant pour aller au travail émet en moyenne 0,7 tonne d’équivalent CO2 par an pour ses trajets, tous modes de transport confondus. Ces émissions sont très variables en fonction du territoire où on habite.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/23/dba039d9551ee7c48f766a2d6fc8d9.png?1763044559)
Qualité de l’air : combien d’agglomérations ont dépassé les seuils en 2022 ?
En 2022, 25 agglomérations ont connu des dépassements des seuils réglementaires européens pour au moins un de ces quatre polluants : NO2, PM10 (valeurs limites), O3 et Ni (valeurs cibles).
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/51/55d8084f6fb61c7fc24b463d02c7f8.png?1763044948)
La prime à la conversion des véhicules : quels bénéfices pour la société ?
Le gain socio-économique de la prime à la conversion pour 2022 représente 40 millions d’euros. Un bilan positif grâce aux bénéfices pour la santé et le climat et aux économies de carburant et d’entretien.
![Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.](local/cache-gd2/3e/b7d0ef776252ef07bbeaf1fc62be02.png?1763044559)